Introduction à la

COMPTABILITÉ GÉNÉRALE

Le livre de comptabilité générale qui commence en douceur

 


 

« Grâce à votre cours, j'ai enfin tout compris! »

Chloé M., étudiante en BTS de comptabilité

 

« Votre livre est très intéressant. On y apprend beaucoup plus de choses que dans les manuels traditionnels de compta. »

Michel L., professeur de mathématiques dans le secondaire

 


Niveau baccalauréat

Dans le livret à la fin de votre chéquier, vous notez les chèques que vous faites et l'évolution de votre solde à la banque. Vous pouvez aussi noter l'argent que vous déposez sur votre compte. Mais vous ne pouvez pas, sans causer toutes sortes de difficultés, noter une promesse de paiement ultérieur que vous fait quelqu'un pour qui vous venez de faire un travail.

Cette observation toute simple, que firent aussi, essentiellement, les marchands italiens au XIIIe siècle, eut une cascade de conséquences. Elle conduisit à l'invention de la comptabilité en partie double.

Traditionnellement les manuels présentent la comptabilité en partie double (appelée aussi comptabilité générale) de manière compliquée. Dès le départ ils donnent, comme exemples, des écritures dans des comptes pour montrer comment ça marche. Ils signalent qu'on aura toujours actif du bilan égal passif du bilan, qu'on aura toujours aussi l'équation "actif = dettes + equity", alors qu'on ne sait pas encore ce qu'est un compte, et encore moins un actif ou un passif, ou un bilan.

Bref, c'est une pédagogie fondée sur l'apprentissage de règles plutôt que sur des explications.

Notre approche est différente. Nous commençons au début, en expliquant comment on note cette promesse de paiement ultérieur qu'on vient de nous faire. Nous expliquons l'origine des mots débit et crédit, et pourquoi tout compte a une colonne débit et une colonne crédit. Nous montrons qu'une opération élémentaire de l'entreprise est une transaction avec toujours quelque chose qui quitte l'entreprise et quelque chose de valeur équivalente qui arrive dans l'entreprise. Progressivement, sans sauter d'étapes, nous expliquons ainsi l'émergence de la comptabilité en partie double.

Après quelques leçons introductives et historiques, suivies d'un petit exemple simplissime, avant toute technique, montrant sans en avoir l'air une grande partie des principes de la comptabilité, nous expliquons à partir du chapitre III pourquoi suivre seulement le cash qu'a une entreprise est insuffisant pour comprendre et gérer ses activités, et comment on fait alors.

Lire le chapitre III gratuitement : "De la comptabilité en partie simple à la comptabilité en partie double". La première leçon de ce chapitre III, "Pourquoi la comptabilité en partie simple, comme dans notre chéquier, est insuffisante", vous permettra de comprendre très simplement ce qu'est de la valeur qui n'est pas du cash, et comment on la comptabilise.

À partir de là, les écritures en partie double deviennent très naturelles et relativement simples. Puis l'on passe à l'enregistrement de tout un journal de transactions, à la balance, aux documents de fin d'année (compte de résultat, bilan). On comprend les "flux de trésorerie" et finalement, à son rythme, en quelques semaines... on a appris la comptabilité sans peine.

 

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Table des matières

560 pages, 23 euros TTC.

et bientôt dans les boutiques.